Mise en garde contre l'égaré Albany et ses faux jugements de l'Islam. Parmi eux, figurent :
Abany dit :
8 – Dans son livre al-Adab Zafaf il interdit aux femmes de porter des bijoux en or – Bagues, bracelets, chaînes et – malgré le consensus des oulémas lui permettant.
9 – Il a fait valoir que 2,5% zakât n'est pas due sur l'argent obtenu du commerce, c'est-à-dire la principale activité par laquelle l'argent circule parmi les musulmans.
10 – Il a absolument interdit le jeûne le samedi.
11 – Il interdit retraite (i `tikaf) dans les mosquées.
12 – Il affirme qu'il est licite de manger pendant le Ramadan avant Maghreb tel que défini par la loi.
13 – Il compare le madhab Hanafi à l'évangile.
14 – Il appelle les hommes à l'imiter plutôt que les imams du salaf tels que les fondateurs des quatre écoles, et ses disciples et à invalider les hadiths qui contredisent son point de vue.
15 – Il affirme qu'il est permis à la femme qui a ces menstrues et ceux qui sont en état de souillure majeur (junub) de réciter, de toucher, et de porter le Coran.
16 – Il affirme que celui qui se rend avec l'intention de visiter le Prophète ou pour lui demander son intercession ou pour lui demander son intercession est un innovateur erronée.
17 – Il affirme que quiconque utilisent le tasbih (chapelet) afin de se rappeler Allah Très-Haut est un innovateur.
18 – Il a inventé un endroit à Allah Très-Haut au-dessus du Trône qu'il nomma al-makân al-`adamî.
19 – Il nie que le nom de l'Ange de la mort est Azrâ'îl et il dit que les revendications d'un tel nom n'a aucune base autre que israélite, bien que 'Iyad rapporte un Consensus de la Umma dans al-Shifa '.
20 – Dans au moins cinq de ses livres il appelle à la démolition du dôme vert de la Mosquée du Prophète à al-Madina al-Munawwara et d'enlever la tombe du Prophète de sa mosquée.
21 – Il considère que c' est une innovation de rendre visite à des parents, des voisins ou des amis le jour de l'Aïd.
22 – Il a donné la monstrueuse fatwa disant que les musulmans devaient quitter la Palestine en masse et laisser les Juifs, comme ils font partie de la demeure de la guerre (Dâr al-harb).
